ANdreox[refusé]

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Dans un coin de la pièce, une guerrière observe l'entrée du druide avec intérêt. Il ne l'a pas encore remarquée, et n'a d'yeux que pour Hizoka. Parfait, c'est exactement avec ceux-là qu'elle rigole le plus. Doucement, sans bruit, elle s'avance jusqu'à n'être qu'à deux pas du nouveau venu. Et là, d'un coup, elle sort son arme et la lui plaque contre la nuque.

Bah alors mon bonhomme ? On vient sans se méfier ? Je peux t'aider peut-être ? On est perdu ?

Sans relâcher sa garde, elle décide malgré tout de baisser son arme, craignant la réaction d'Hizoka, peu enclin à rire de ses plaisanteries.

Emaëlle était elle aussi dans un coin de la pièce. Elle avait vu s'approcher la guerrière et eut un sourire amusé en repensant à sa propre arrivée et comment elle avait été aussi "accueillie" par Lylywen qui prenait bien à cœur les intérêts de la guilde. Elle était aussi intéressée par les réponses qu'allait devoir donner le druide pour rester parmi les vivants.

La druidesse s'avança doucement juste de façon à être visible et se tint prête à réagir au cas où ses compagnons auraient besoin d'aide. Elle s'adressa quand même au druide avec un sourire :

- "Si j'étais vous je me dépêcherais de répondre à cette dame. "

*Observe l'arrivée du nouveau venueet l’interpellation de Lylywen*

- Bonjours, druide

*se tourne vers Lylywen*

- Pour une fois tes paroles sont sorties avant ton arme, bel effort

*S'adresse au druide*

- Bien... comme le dit ma sœur d'armes, que venez vous chercher ici, qui êtes vous ?

Andreox ne put s'empêcher d'échapper une gouttelette sur son front au contact d'une lame dans sa nuque. Pourtant son expérience de chasse lui avait permis de différencier les armes les plus dangereuses des plus inoffensives. Un sourire en coin de bouche signalait que l'arme n'était qu'un leurre. Qui oserait s'attaquer à lui après tout ? Si seulement il connaissait sa puissance. Il s'amusa du jeu de Lylywen. Un autre druide, Emaëlle, invitait à lui répondre :

- Perdu dans ce bled ? Vous me confondez avec le dernier des abrutis de ce triste village. Se méfier ? Disons que la scène semble théâtrale, voir trop bien tournée pour que je puisse la prendre au sérieuse. Vous aviez répété votre petit texte ?

Andreox but une gorgée de ce nectar dont il était friend. Il s'éclaircit la gorge :

- M'aider ? Disons que je recherche quelqu'un ici qui saura me renseigner autrement que par la peur. Si puis-je appeler cela de la peur ...

Avant ce dialogue il semblait sentir une présence qui rôdait dans le coin. Voleur ou chasseur ? Qu'importe, le druide se sentait épié.
Puis, sortant des ombres, il aperçut la venue d'un autre elfe au nom de Hizoka. Il se dégageait de l'individu une puissance inhabituelle. Il s'adressa à lui :

- Etrange. Je ne vous avais pas vu en entrant ici. A croire que vous avez passé un pacte avec les ombres. Qui je suis ? Peut-être qu'il est trop tôt pour que je me dévoile à vous. Et puis, qui sait si je m'adresse à quelqu'un ayant une conscience raisonnable. Ce que je cherche ? Ne jouez pas à moi avec ça ! Vous le savez très bien. Ou plutôt vous évaluez ma peur ? Votre organisation cherche à pousser ses recrues jusqu'aux extrêmes j'ai entendu dire. Pourtant vous connaissez le terrible passé de mon peuple. Comment ne pas être mêlée avec vos convictions.

Quelque chose semblait briller dans la pénombre étouffante.

- Jolie arc ! Surement acquis à travers de longs combats j'imagine .... ?

Leeröy, contrairement à ses compagnons d'armes, ne se cachait pas dans les ombres de la pièce mais se faisait tout de même discret. Il n'était pas non plus du genre à lancer la conversation, il laissait faire les plus anciens, ceux qui évaluent les jeunes recrues.
Cela dit il aimait faire "connaissance".

-On évalue pas la peur ici! Bien de soldats ont l'air vaillants aux premiers abords mais ne valent rien sur le terrain.
Mais tu as raison sur un point: nous allons jusqu'aux extrêmes! Nous sommes en quelques sortes "extrêmes"!
J'espère pour toi que tu sais faire autre chose que d'user de ton éloquence!

Le guerrier se mit à rire. Le druide avait du culot pour parler ainsi à d'autres individus mais il aimait ça car le ton allait surement s'élever au cours de la discussion.

Et tu crois que tu es une recrue petit ? Qu'il te suffit d'entrer ici avec cet air suffisant pour qu'on t'accepte ?
Il n'est pas trop tôt pour te dévoiler. En fait c'est tout l'inverse vois-tu. Si tu ne dis rien sur toi, tu peux partir tout de suite, tu ne nous seras d'aucune utilité. Je suppose que si quelqu'un t'a fait entrer ici, c'est qu'il y avait une raison, alors je t'écoute : qui es-tu, que cherches-tu ici et comment as-tu eu le mot de passe ?

Andreox s'adresse à Leeröy :

- Oui, il est vrai que je suis une personne assez sûre de moi. Mais je vous prie de m'excuser de cette approche un peu brusque. A vraie dire, fut un temps ou je passais pour un faible à toujours m'abaisser aux autres. J'en perdis confiance à cette époque. Mais depuis, j'ai dû affronter des grandes étapes importantes de ma vie qui m'ont faire prendre conscience de qui j'étais. Ainsi, ce soir je voulais éviter le même scénario du passé.

Le druide se retourne vers Lylywen en grattant la tête, l'air un peu niais :

- Comme je le disais à votre compagnon ... *il hésite sur les mots* ... vampire. Je suis quelqu'un qui a vu des tas de choses pas forcement agréables. Ceci a dû me forger un caractère assez direct avec les inconnus. Mais j'espère que vous comprendrez cette erreur de conduite.
Le mot de passe, c'est l'un de vos membres qui me l'a transmit. Après lui avoir conté mon histoire il avait une lueur dans ses yeux qui semblait me dire " Va-y tente ta chance avec nous ! ". C'est à ce moment là que nous avons fait plus ample connaissance devant un bon lait chaud près de cette ville. Il a su me convaincre avec aisance. Il maniait les mots comme un troubadour. C'est la raison de ma venue. Vous semblez aspirer aux ombres ce que j’entretiens avec elles : de l'amertume. J'ai cru comprendre que vous jouissez de leurs pouvoirs comme personne d'autres. Cela me tente depuis une de mes longues lectures *il lève la tête et cherche à se souvenir d'un vieux livre trouvé dans la bibliothèque de Forgefer* qui vente les mérites du pouvoir obscure dans les soins. Ce fut une théorie intéressante selon moi. Depuis j'essaie de la pratiquer mais sans succès. Etant avant tout un ancien soigneur de mon peuple je m'y complais au quotidien avec d'autres aventuriers qui monnaient mes services. Mais, je pense pouvoir vous en faire profiter ... en m'enseignant votre mystère.

Une aura mystique semble prendre possession de la pièce. Il fait assez chaud pour une soirée printanière. Les ombres de chacun semblent valser dans un méandre infini.



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Excusez-moi pour le RP assez "brusque" je voulais juste faire une entrée un peu originale en proposant un personnage assez complexe
Bonne lecture

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Aucun souci au contraire, n'hésite pas à donner à ce RP le ton de ton choix

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La guerrière eut un long temps d'arrêt lorsque le druide prononça le mot "vampire". Incroyable. Il n'était pas là depuis cinq minutes qu'il en savait déjà long comme le bras. Elle se demanda comment réagir. Nier ? S'esclaffer ? Ou le tuer tout de suite ?
Elle scruta la salle, cherchant des yeux ses comparses, et essayant de lire en eux ce qu'ils pouvaient bien penser en cet instant.

La personne qui vous a renseigné a été bien bavarde visiblement. Mais probablement affabulatrice ! Nous, des vampires ? Et puis quoi encore ? Non, non, nous ne sommes rien de plus qu'une communauté de personnes, regroupée autour d'idéaux et de l'envie de se battre pour eux ! N'allez pas nous inventer de supers pouvoirs, nous n'en avons pas !
Quel est votre nom déjà ?

Andreox lit sur le visage de Lylywen un certain doute. Ses yeux fixent le druide. Une certaine pression se ressent. Aussitôt, le druide amorce la situation :

- Connaissez-vous " Dixit'Stories " ? Magnifique gazette gobline. Que dis-je ? C'est la meilleur ! Elle s'intéresse à pleins de cas plus ou moins farfelus selon les envies de son rédacteur. Il y a un mois lunaire elle avait consacré un article complet sur une mystérieuse maladie qui semblait frapper une partie d'Azeroth. Un des journalistes avait eu l'occasion de mener des études sur les symptômes qu'elle développait. Le constat fut sans appel : instincts de survie modifiés, nourriture à base de sang *il revoir la photo d'une hécatombe de taurens vidés à sec dans une entre* et personnalité modifiée. L'auteur a même souligné la présence potentielle de Lycans ... Autant dire que l'article a fait grand bruit. Et pour dire : même moi je n'y croyais pas. Pourtant, au cours de mes voyages qui m'ont amenés en ce lieu précis j'ai senti comme une atmosphère différente des grandes villes comme si la vie semblait se recroquevillait sur elle-même. La description correspondait pile aux dires de la gazette. Sans parler des propos de votre compagnon. Son vocabulaire me paraissait différent ... inhabituel. Donc ai-je fais une bonne déduction ?

Andreox avait vraiment du mal à mentir avec le temps. Cela pouvait leur paraître trop étrange qu'il était capable de sentir grâce à son talent de soigneur les maladies de ses compagnons. Dès qu'il les avait vu il avait directement compris la maladie qui les rongeait. Foie de druide, il en était sûr : tout concordait avec du vampirisme au stade évolué. Mais cela ne le dérangeait pas. Au contraire, il voulait en savoir plus.

- Mon nom ? Andreox ! Oh, ne voyez là rien d'original. Cela provient d'un mélange de langue druidique avec celle de mon ancien peuple. " Andre " signifie " âme juste " et " ox " convient à " vaillant ". Et vous, je ne connais pas vos noms ainsi que le nom de votre communauté ?

Le druide se tait, avide de réponses.

Deliab s'avança de quelque mètres le sortant de son camouflage dans l'ombre .

-Vos yeux vous trompe Andreox, j'utilise une arme a feu et non un arc, enfin bref.

-Une gazette de Goblin qui parle de transformation génétique sur les Worgens? C'est super vendeur je le conçois, il n'y a pas que vos yeux qui soit naïf. Quoi-que, il existe bien des vampires il me semble que Lana'thel avait ce genre de fléau en elle, mais avec la chute du Roi Liche j'imagine qu'elle n'est plus de ce monde...

Regardant autour de lui.

-Pour la décoration de ce lieu, je l'avoue il est quelque peu... Gothique. Mais là encore, cela permet de faire venir les clients, rien de mieux qu'un bar a thème.

Cherchant les mots prononcé par le druide qui ce tenait devant lui il repris.

-Ha oui! Vous avez dit il me semble, arrêtez moi si je fait erreur. Une atmosphère différente des grandes villes comme si la vie semblait se recroquevillait sur elle-même. Je l'avoue vous avez vu juste, nous sommes a Forgefer, capitale des Nains, c'est bien normal que pour certain d'entre nous qui ne sommes pas de leur petite taille, de devoir se recroqueviller pour entrée dans certaine boutique.

-Maintenant si vous courrez après les "on-dit", je peux vous appeler un de nos conteurs? Nous avons de drôle de compagnons qui transforme de simple mot en de magnifique histoire pour enfant.

Le chasseur allait prendre place prés du feu quand il se retourna de nouveau vers Andreox.

-Autant pour moi, je ne me suis pas présenté, je me nomme Deliab. D’ailleurs vous avez dit aussi avoir été guidé par un des nôtres , son nom a lui été?

Attendant fermement une réponse il croisa les bras.

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Bonjour et bienvenue sur ce forum.
Il y a 2 points sur lesquels des précisions s'imposent...

Andreox a écrit:

Mes anciennes guildes étaient celles de mes anciens personnages, je ne vois pas trop l'intérêt d'en parler.

Nous, nous voyons l’intérêt que tu nous en parles. Nous le demandons à tous, et nous ne sommes pas les champions des passe-droits. Merci donc de préciser ce point.
Une question complémentaire d'ailleurs, tu dis avoir des rerolls, peux-tu nous dire lesquels, sont-ils sur le Culte et rejoindront-ils la guilde avec ton main Andreox ?

Andreox a écrit:

Disponibilités, temps de jeu: ceux d’un étudiant soit en majorité le soir/nuit. J’essaye toujours de me procurer du temps dès que je peux. Pour les raids : Dimanche, Mercredi, Vendredi, Samedi. J'essaye de débloquer d'autre soirs quand je peux.

Concernant les soirs de raids, la guilde fait du PvE les lundis, mercredis et jeudi + du PvP le mardi et dimanche. Ca ne te laisse habituellement qu'un raid PvE par semaine (mercredi) et une soirée PvP (dimanche), cela te suffira-t-il ? Etant une guilde casu, ça ne nous pose pas de problème à nous, nous voulons juste vérifier que ça ne t'en pose pas à toi.

A bientot !

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Leeröy avait du rêver! Le mot "vampire" était bien sorti de la bouche de ce druide!
Néanmoins le worgen ne laissa paraître aucune expression suite aux paroles d'Andreox.

*dans ses pensées*

"Comment peut-il être au courant? De simples déductions ne suffisent pas! Ni même des recherches sur notre communauté!
Quelqu'un a du lui en toucher deux mots, c'est certain."

Le guerrier continua ensuite à écouter le druide et ses compagnons et ajouta:

-Des vampires? Ici? Laisse moi rire!
Il n'y a pas plus de vampires en ces lieux que de bières sans alcool à Forgefer!

Leeröy avait essayé d'être le plus convaincant possible bien que la comparaison était assez humoristique. Il se leva, avança vers le druide et lui montra ses crocs!

-Tu vois ça? Ce sont les vraies seules canines de ces lieux sans compter celles des animaux. *petit regard vers le familier d'Hizoka* Donc ne crois pas à ces tissus de mensonges gobelins!

Aux dires de Deliab, Andreox reconnut les roches ornant la taverne typiques de celles que l'on pouvait rencontrer à Forgefer. Mais ce détail lui avait échappé ...
Venait-il de faire un mauvais rêve ? Cette idée l'inspira ... :

- Mhmm ... Peut-être que l'histoire de la gazette gobline était étrange. Après, il pouvait s'agir d’une vision lors de l'un de mes rêves. Vous savez, nous les druides, lorsque nous dormons une partie de nôtre âme s'envole dans le rêve d’émeraude. Et moi je suis l'un des rares a être conscient lors de ces transes. Vous savez, notre esprit peut nous jouer des mauvais tours. *Le druide se demande s'il était nécessaire de parler de ce secret*. Vous me posez une colle là ...





Andreox mentait à moitié. Même s'il était vraie qu'il était conscient lors de ses rêves l'histoire du journal était faite de toute pièce. Il devait se résoudre à parler de son don. Encore un secret de plus à dévoiler. Mais doucement ... Andreox sentait avoir le contrôle de la situation. Du moins c'est ce qu'il espérait. Il reprit la conversation :

- Mais pour moi il était inutile de croire ou non à ce que j'avais crus lire. A vraie dire, nous possédons des talents que nous apprenons à l'âge de la maturité. Ne croyez pas qu'il s'agit de l'âge mais je parle bien de la " maturité du crépuscule ". C'était une tradition avant la scission des clans. Lorsque les anciens nous sentaient prêt ils nous envoyaient par groupe de deux dans une vieille forêt sacrée. La cérémonie commençait à ce moment là .... *Andreox revoit les esprits ... Ne surtout pas trop en dire*. Les mages de notre tribu invoquaient des esprits. Ceux-ci devaient nous transmettre un vieil héritage de la dernière génération de l'Arbre Monde : celle du don de perception. Lors de ce rituel nous recevions ce talent prodigieux qui complétait notre maîtrise du soin naturel. Nous étions devenue de vrais druides. Mais là c'était avant l'accident ... Bref, ce don permet à nous guérisseur d'analyser l'état physique et mental de celui qui se trouve en face de nous. Pour les soigner c'est évidemment très utile : nous récupérons un tas d'information ... Vous voyez ce que je veux dire sur vous maintenant ? Malgré tout cela a un prix : la vitalité. Il s'agit d'un exercice extrêmement difficile ... dur ..... très dur ... à ... contrôler ..........

Les yeux du druide se fermaient. On pouvait apercevoir de larges gouttes sur son front. Les rides de son visage ressortaient. Il bascula en arrière comme fauché par la mort, mais avant de s'évanouir il savait qu'il avait atteint la limite de son fichu don. Sa tête frappa le sol. Ceci fit un grondement. En bas, les têtes des clients se levaient vers le plafond. Mais que pouvait-il bien se passer là-haut ?

Andreox gisait au sol. Une lettre venait de glisser de l'une de ses poches en cuir. Il s'agissait d'une lettre de recommandation écrite par Folten.
Seul un autre druide pouvait tirer Andreox de sa dangereuse fatigue qui l'avait fait tombé dans les pommes. Mais ceux qui l'entouraient le savaient-ils ?



/HRP

En réponse à Hippocrate :

Alors, à l'époque je jouais avec un ancien DK avec la guilde Mercenaires ( avec qui j'ai d'ailleurs terminé Ulduar à l'époque ). Après ça j'avais un peu arrêté le jeu, j'avais également delete mon personnage. Avec ce personnage j'étais dans la guilde Blue Djinns que j'ai quitté récemment à cause des horaires qui ne me convenaient plus. Entre temps j'ai monté un reroll côté horde. C'est un mage au nom de Fraec niveau 85. Donc je pense que ça va être dur à guilder ^^

Pour la question de la disponibilité il n'y a pas de soucis de mon côté. Je suis un peu casu depuis peu ( étude, ... ) mais j'essaie sinon de me libérer quand je peux.
Voilà.

En espérant avoir répondu à tes questions !

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Deliab ne porta pas son attention sur le druide gisant au sol, mais plutôt à la lettre tombé a ses cotés.

-Tiens donc! Elle est signé par Folten, c'est donc lui qui aurait la langue bien pendu?

Le chasseur alla la donner a Hizoka.

-Je te laisse le soin de la lire.

Il attendait là, regardant les mains d'Hizoka parcourir la lettre.

Leeröy vit le druide tomber et la seule phrase qu'il sortit fut:

-J'y suis pour rien, je ne l'ai pas fait boire moi!

Peu après, il vit Deliab ramasser une lettre. Celui-ci l'a donna à Hizoka.

-La signature de Folten?

*à voix basse à Hizoka*

-Tu penses qu'il nous aurait balancé? Un complot de druides?

Kelaro entrait à ce moment dans la pièce, le brouhaha l'y ayant attiré. Il avait juste eu le temps d'entendre les dernières conclusions des présents.

- Gardons-nous des conclusions trop hâtives. Laissons cela à ceux qui savent réfléchir, voulez-vous ?
Le regard de mépris vers Leeroy ne rendait la pique que plus explicite.

- Mais ces révélations sont d'importance. Si l'évanouissement de cet étranger aurait avant pu nous servir pour se débarrasser d'un intrus indésiré, la donne a changé. Des informations sur nous, écrites qui plus est, circulent apparemment à l'extérieur. Cela est dangereux. Il nous faut découvrir ce qu'il en est réellement, et dans quelles proportions. Ensuite nous aviserons.
- Toi ! Il tendit le bras vers le worgen. Va chercher Folten. Trouve-le, où qu'il soit, et ramène-le. Dépêche-toi !

Le Chaman se tourna vers le corps inerte du druide.

- Deliab, aide moi à m'occuper de lui. Je n'ai aucune idée de ce qui lui arrive. Sieur Hizoka, avez-vous déchiffré le contenu de cette lettre ?

Delliab lâcha la lettre des yeux pour s'avancer vers le chaman qui venait de faire son entrée.

Insistant quel-que peu sur le premier mot il répliqua.

-Bonjour, Kelaro! Les informations qu'il nous a parlé son fausse, n'ayez crainte. Il a vu cela pendant ses rêve, rien de plus.

Regardant Leerøy partir chercher Folten, il se frotta le menton.

-A dire vrai, se qui me chagrine le plus, c'est toutes nos nouvelles recrus qui ne sont pas suivit de prés par leur Faiseur, personne ne leur explique les fondamentaux de notre guilde?

Un silence prit place et s'approchant encore plus prés des oreilles du chaman, il chuchota.

-La mascarade et t'elle point connu?
-Des camarades nouvellement venu.
-Leur mauvaise action défis t'il nos principe.
-Si il ne font pas attention, je leur arracherais les tripes.

Il reprit a voix haute.

-Navré, ne faite pas attention a ma dernière phrase, Mais je commence a perdre patience avec tous ces beau parleur, d'ailleurs ils ne sont pas tous en tord. A mon époque, je veux dire, quand j'ai fait mes premier pas dans cette confrérie on prenait le temps de former tous nouveau arrivant, chaque mot été pesé, j'ai l'impression que cela n'est plus.

Le chasseur se retourna et parti en direction du feu central, il y chercha un morceau de bois qui été plongé d'un coter dans le feu, et de l'autre sur les pierres qui servait de garde-fou.
Attrapant l'extrémité pas encore brûlé, il le dégagea du feu, soufflant sur la braise qui ce tenait a l'autre bout, il s'approcha du druide évanouit.

-Bref revenons en a nos moutons, nous sommes point là pour remettre en question la discipline de chacun.

Sans même attendre il déchaussa Andreox et y colla la braise qui parcourait son bout de bois.

-Si ça ne le sort pas de son rêve de machin chose.... On pourra toujours essayer les claques, cela marche parfois.

Regardant les visages un peu outré de certain. Il retira la braise du pied du druide, allongé là, comme un homme mort.

-Hoooo! Me regardez pas ainsi, je suis pas médecin, vous êtes mignons!

Montrant du doigts Andreox.

-Lui par contre s'en est un, du moins, parmi toutes les sornettes qu'il a sortit, j'ai cru entendre qu'il soigner les gens mieux que personne, alors c'est pas quelque cloque qui vont lui faire peur?

-Et vous? très cher Kelaro, les éléments que vous contrôlez si bien, ne nous offrirait aucune solution, comment dire, moins... Agressive?

Ne prenant même pas la peine d'essuyer les cendres sur le pied du druide il lui remis sa chaussure.

Kelaro entra dans la pièce! Leeröy n'aimait vraiment pas ce draenei! Qui plus est, celui-ci lui donnait des ordres!

*à voix basse*

-Encore ce poulpe! Qu'il s’approche et il va goûter à mes lames! Et regardez comment il me dévisage, à croire qu'il est meilleur que les autres! Pfff!

*à Kelaro*

-Je m'exécute votre "Altesse"! *s'inclinant légèrement*

Leeröy partit mais sans se presser. Il est logique d'obéir aux ordres mais le minimum de courtoisie serait le bien venu pour certains.
Il frôla le chaman en lui chuchotant:

-Au fait, un bonjour n'est jamais de trop lorsque l'on entre dans une pièce.
On se revoit tout à l'heure Monsieur le poulpe!

Sur ces paroles, il quitta la pièce et se mit à la recherche de Folten bien qu'il n'avait aucune de l'endroit où il pouvait être. Il sortit donc sa pierre en essayant de le contacter.

Folten, tu m'entends? On a besoin de toi à l'Elyseum! Je ne savais pas que tu signais des autographes!

Kelaro n'entendit pas la réflexion du worgen, dont la présence était redevenue insignifiante dès lors qu'il lui avait donné ses ordres.

- Je n'ai aucune idée du mal dont il est atteint Deliab. Surveille ses signes vitaux.

Se relevant.
- Emaëlle ! Viens aider notre ami chasseur si tu le peux. Ce druide doit rester en vie. Pour le moment.

Puis il se retourna vers Hizoka.
- Alors, cette lettre ?