[Accepté] Femrir, Worgen et Chevalier de la Mort

Un sourire amusé se peignit sur le visage du Chaman.

- Nier vos origines, et penser que nous discutons esthétique augurent mal de nos conversations futures... Mais je vous reconnais le courage de ne pas courber "l'échine"...

Kelaro s'amusa de son bon mot.

-... y compris en terrain inconnu. Quant à mon respect... Bref. Et si nous en revenions à la raison de votre présence ici ?

-Comme je l'ai dit à Da- Van Delta ici présente, c'est des "rumeurs" qui on eut raison d’attiser ma curiosité. Je ne fait que suivre... vous voyez, l'instinct animal tout ça *le chevalier de la mort lui renvois le même sourire amusé*.

-Oh! Mais excusez moi! J'en oublie les bases. Je suis Femrir, et vous?

Elle le reconnaissait, plusieurs fois, il était venus devant sa cellule tenir des propos semblables.
Elle ressentait le degout dans les reflets de son regard.
En sa présence, des frissons parcouraient son dos. Ici, même sous sa forme d'humaine qui lui coutait de maintenir, elle restait encore et toujours une worgen.
Le Draenaï avait raison, nous les Worgen sommes et resterons des monstres des erreurs, des abominations. La discussion qu'elle avait entretenu avec Femrir lui l'avait presque fait oublier.

*Chuchotant à son voisin deux fois maudit*
- Chut, tu ne devrais pas, tu dessert tes intentions.

Van delta était loin d'avoir l assurance de son congénère même si elle portait déjà le tabard qu'il convoitait.

*s'adressant à Kelaro*
-On m'a mise aux ordres d'un fantôme, impossible de le joindre.

La porte s'écrasa contre le mur avec une mélange de supplique et d'exaspération envers la négligence coutumière de la nouvelle arrivante.

Une guerrière humaine pénétra dans la pièce, toisa les présents et, de son pas décidé, traversa la pièce sans chercher à saluer qui que ce soit.

Arrivée à l'autre bout de la pièce, elle s’arrêta net. Sans tourner le dos, elle huma bruyamment l'air, et se retourna pour fixer intensivement le chevalier de la mort.

Elle s'approcha, et, sans que ses yeux ne quittent sa proie, lâcha avec un sourire crispé :

"Voilà un parfum qui dénote ! aussi bien avec le métabolisme qu'avec le métier."

-Certes, mademoiselle, mais l'hygiène n'est pas interdite. Ni au Worgens, ni aux Chevaliers de la Mort.

- Chère Brünhild, Femrir, Chevalier de la Mort ici présent, est ici par curiosité. Doté de beaucoup d'esprit comme vous le constatez, il n'a pour le moment pas cru opportun de nous donner la raison de sa visite parmi nous. Peut-être veut-il nous divertir avec ses bons mots ?
En tout cas, j'ai plus intéressant à faire. Aussi je vous laisse avec lui, si vous en avez la patience. Et quoi qu'il arrive, je vous demande humblement de ne pas mettre de sang sur les murs. Cette pièce vient juste d'être nettoyée, suite au dernier "incident"...

Le Chaman se retourna et se dirigea vers le fond de la pièce.

Une autre guerrière débarqua bruyamment, faisant claquer la plaque de ses bottes sur le sol froid de la salle.

Et ben ? Qu'est-ce qu'il s'passe ici ? C'est qui ça ?
Oh bah, vous êtes déjà nombreux sur le coup hein ! Qu'est-ce qu'on fête là ?

Ce disant, Lylywen vida la chopine avec laquelle elle était entrée, et la posa sur la table avec fracas.

*Femrir se dit intérieurement "Deux femmes, au caractère fort et violent, tels des bêtes... que j'étais. Et c'est moi qui dénote?*

-Rien de bien particulier, ma demoiselle, si ce n'est que je souhaite joindre vos rangs, et qu'il semblerai que doivent inventer une raison autre que satisfaire ma curiosité sur une guilde qui s'entoure de mystères et d'ombre.

*Continue à garder l'humaine au centre de son intention, peu rassuré des dernières paroles du chaman anonyme qui viens de partir.*

Sourire narquois de la guerrière

"On s'connait non ?"

-*se remémore le nom prononcé par le Draeneï* Brünhild c'est bien ça?... *réfléchit* Ce nom ne m'évoque rien. Il devrait? Il ressemble à un nom de Vrykul.

*toujours au même endroit caché dans l'ombre Hizoka regarde la scène n'intervient pas mais sa lame le demande, Nami son compagnons à ses coté semble toujours autant sur ses gardes.*

- Il se croie un peut trop chez lui *ce dit l'elfe*

*L’intervention de ses compagnons le fait sourire... l'elfe attend et observe*

[Candidature clôturée]