Un invité surprise ... chez les " Mort-Sûre "

Affrontant la tempete de neige, Ylanâa vit au loin une lumière. Malgrès son longt voyage elle fendit le ciel pour se diriger vers l'une des meutrières du repaire. Ayant répeter à de tres nombreuse reprises cet action, le vent et la nuit ne put l'empecher de se poser au milieu de la salle principale et de retrouver sa forme originale.
Regardant autour d'elle, elle vit de nombreuse personnes dont le Prince Nosférian, une partie du conseil, Shââline
et un inconnu. S'inclinant devant le Prince, elle dit :

" De retour d' Astranaar, le raid de la horde a était repousser mais un groupe a pu s'enfuir et on as du les chasser. Tres belle chasse d'ailleur."

Ylanâa esquissa un sourire en marquant une légère pause dans son compte rendu, puis reprit :

" Ils se sont rendu au Poste de Bois-Brisé, qui est desormais en flamme, puis se sont diriger vers Orgrimmar. Ils n'ont jamais atteint ce lieu, on leurs a lancer une ambuscade au canyon de malechute ou ont les a décimer. Victoire total, malgrès la perte de quelques valheureux membre de l'alliance. "

Puis se tournant vers l'inconnu elle se présenta " Ylanâa d'Esperanza, protectrice de la Nature. "

D'un pas lent elle s'installa ensuite dans l'un des fauteuil pres du feu et écouta attentivement les differentes discussions.

Strear avait écouté Nosferian avec attention et longuement discuté.

Citation :

"Bonsoir Prince. *s'incline
Bonsoir Sire Strear. Bonsoir à tous...
Puis-je me joindre à vous ?"

" Bonsoir Dame Shââline" dit Strear en s'inclinant légèrement, en souriant chaleureusement.

" Eh bien, les arts de la dissimulation n'ont plus de secret pour vous visiblement ! J'ai souvent eu à combattre vos pairs du côté ténébreux, et cette capacité en a sauvé plus d'un ! (rire) "

Une druidesse était arrivée, contant des exploits de champ de bataille qu'elle avait accomplis peut de temps avant.

Citation :

" Ylanâa d'Esperanza, protectrice de la Nature. "

" Je suis très heureux de faire votre connaissance, j'ai beaucoup de respect pour les druides. Vous vous entendriez à merveille avec Dame Arcangia, qui mène également une vie dévouée à l'harmonie avec les éléments de la nature. "

Au fil des heures, les effets de l'alcool se dissipant, Strear eut un déclic ...

Strear se leva d'un coup, sa cheville projetant en arrière la chaise sur laquelle il était assis. Seul, désarmé et en minorité numérique, il passa un regard livide et vif sur ses hôtes ... il venait de comprendre.

Il leva la main aux cieux, invoquant les puissances célestes, et plusieurs rayonnements de symboles sacrés l'entourèrent successivement.

Il lança au prince d'un ton fébrile ...
" Je viens de comprendre. Trop tard j'en ai peur, mais qui sait ... L'ancien livre de Khar'Thyr que j'ai étudié il y a bien longtemps faisait référence au terme " infant ".
Vous faites référence à des batailles que des elfes ont pu connaître de par leur longévité, mais pas vous Hippocrate, alors que vous y avez participé.
Quelques tours de magie, un teint légèrement blafard.
Je suis dans l'antre de la non-vie en ces murs. Aviez-vous besoin de vous amuser avec moi de la sorte pour me vider de mon sang ? Quand comptez-vous mettre vos plans à exécution !? Vampires ! "

Spear pensa *Je n'ai quasiment aucune échappatoire, je suis dos au mur, aucune sortie sans traverser la pièce ... aucune arme à portée ... le bouclier divin ne m'emmènera pas bien loin, je ne sais pas où est mon destrier, je ne connais pas la région et tout est enneigé ...*

* Le changement brutal de comportement de Strear ne semble même pas provoquer un haussement de sourcil chez le prêtre... il se contente de dire d'un ton excessivement posé :*

M. Strear, votre méfiance nous offenserait si elle ne durait plus que ces quelques secondes...

Sachez que vous avez effectivement saisit quelle est notre "particularisme", mais nous sommes des amis des peuples de l'Alliance quand bien même nous n'en faisont plus tout à fait partie.
Asseyez-vous donc, vous risquer moins ici qu'à des kilometres à la ronde et vous savez parfaitement que si nous ne pensions pas ainsi vous ne pourriez de toute manière rien y changer.

Je vous prie de vous rassoir et de ne tirer aucune conclusion hâtive, ce serait une de vos plus graves erreurs...

Strear n'avait d'autre choix que de composer. Rien jusqu'ici n'avait été hostile de la part de ses hôtes, mais leur "particularisme" lui glaçait le sang ... c'était le cas de le dire.

Il se rassit donc, silencieux, observant l'assemblée vampirique qui l'entourait, incapable de prononcer un mot tant la révélation, ce paradoxe de sympathie apparente de ses hôtes et l'état vampirique maléfique qu'il connaissait des écrits l'avaient mis dans un état de grande confusion.

Le paladin laissa apparaitre un leger sourir...

"hmmmm, je vois que les paladins n'ont toujours pas changé, ils sont tourjours méfiants de ce qu'ils ne conaissent pas."

Séraphyn posa son épée à coté de la cheminée, puis se rassoit sur la chaise face à cette dernière...

"Chèr ami, sir Hippocrate a tout fait raison...
Ne portez pas de jugement hâtif, sur ce qui vous est inconnu...."

Séraphyn se retourna face à la cheminée, et rajouta:

"N'ayez aucune crainte de nous, si on aurait voulu vous faire le moindre mal..."

"Vous seriez deja mort..."

Séraphyn / Brumenoire a écrit:

Le paladin laissa apparaitre un leger sourir...

"hmmmm, je vois que les paladins n'ont toujours pas changé, ils sont tourjours méfiants de ce qu'ils ne conaissent pas."

Strear répondit sur un ton paisible ...
" Nous vivons dans un monde dangereux, et vous savez tous comme moi quelles ruses l'ennemi met en oeuvre. Celui qui se méfie améliore sensiblement ses chances de survie. "

Strear finit cette soirée étrange à l'aube, et nul ne saurait dire s'il dormit la nuit suivante alors que ses hôtes étaient éveillés. Il passa ces quelques journéesà étudier les récits des faits d'armes de la guilde Mortsûre.
Certes, il était incontestable qu'ils servaient l'alliance avec vigueur et courage.
Ils furent de bonne compagnie et la méfiance céda progressivement le pas à la cordialité sincère. En son for intérieur, Strear ressentait cependant une sensation paradoxale. Il avait ardemment combattu la non-vie, et les Dieux l'avaient doté de pouvoirs sacrés à l'encontre de ceux qui en faisaient partie.
Etait-ce là une nouvelle leçon qu'ils cherchaient à lui enseigner ?
Quelques jours plus tard, les chemins extérieurs étaient enfin praticables.
Strear remercia chaleureusement ses hôtes et leur promit de donner des nouvelles, et se remit en route vers ses terres ...

''Nosferian lanca alors''

Bonne route ami.

''Il savait déja qu'il serrait trés rapidement amener à revoir le valeureux''

Que tes jours soit long et tes nuits paisibles.