[Acceptée] Lydis... druidesse au long crocs

/HRP (plus pour tres longtemps)

Ta candidature "réelle" est en débat parmi tous les mordus. Elle est soumise au vote et avance normalement.
D'ici quelques jours, si tout va bien, nous t'en donnerons le résultat final et le nom de ton faiseur si tu es accepté.
A tres tres bientot donc !

Si tu trouves que cette procédure est un peu longue, n'hésites pas à nous relancer ou à nous reposer la question. Toutefois, ça ne t'empèche pas de commencer à prendre contact avec nous IG et surtout, surtout de continuer à animer ce post RP qui est tres prometteur.

/HRP

/HRP merci pour la réponse, pour le côté ingame j'aimerai bien mais dur dur de vous attraper... POur le côté rp y a pas de souci j'attends une réponse avec impatience.


Bonne journée


Lydis

Méthanos ne put s'empêcher de sourire à la complainte de la louve.

Créature intelligente, mais naïve...Avait-elle eu le choix? L'avait-il eu, lui? Non. La vie donne rarement le choix.

Mais la louve n'était pas la seule. Trop de monde ici étaient motivés par des principes "moraux" qui n'ont de valeur que celle qu'on veut bien lui accorder. Des contraintes supplémentaires,artificielles.

Méthanos trouvait ça amusant: ne suivant pas les règles "morales", il avait toujours un coup d'avance au minimum. Les autres s'offusquaient régulièrement, mais ça n'était que la marque de leur faiblesse.

Kardenaar observait la louve avec son regard glacé habituel, pourtant on pouvait presque déceler une ébauche de sourire sur son visage habituellement de marbre.

"En voilà une qui a du cran de nous braver ainsi face au conseil alors que sa vie ne tient plus qu'à un fil. Quelle dommage qu'elle fasse partie de cette race maudite... Ce sont des âmes de cette trempe qui mériterait de nourrir les rangs des crocs d'enfer. Des âmes fortes, fières, qui ne plient pas devant la menace. Les plus braves qui ne reculent devant rien... Lylywen avait rejoint la meute et après un apprentissage délicat promettait de se révéler une recrue de choix... Mais qu'il était dur d'avoir des candidats au profil adéquat ! Les rangs des crocs ne se renouvelaient pas assez vite... Oui, quelle dommage qu'elle fasse partie de cette race ennemie de la leur.

Kardenaar se remémora alors une conversation récente avec Hizoka où ils avaient justement évoqué le cas des worgens de Gilnéas. La bête qui les habitait n'était pas si éloignée de celle que les crocs portaient en eux... Et leur intégration dans l'alliance pouvait poser des problèmes politiques si l'on continuait de les traquer... Les étudier... Avec prudence, pourquoi pas. Les asservir ? Une idée intéressante... Il y avait peut-être là un coup à jouer... Mais il fallait des garantie solides, une emprise irrésistible...

Kardenaar reporta son attention sur la louve.

-"Alors comme ça elle parle, elle semble capable de raisonner. Peut-être même saurait-elle se montrer raisonnable ?"

Le conseiller marqua une pause avant de reprendre, froidement.

-"Bien des créatures de ta sorte n'ont rien été de plus que des bêtes, celles qu'Arugal gardait sous son contrôle, celles qui hantaient les bois de la pénombre, des animaux que l'on traque et que l'on tue. Maintenant je te suggère de saisir ta chance de nous monter que tu es différentes et ce que tu as à l'intérieur de toi. (tournant le regard vers Methanos) Ou alors devrons nous pour cela ouvrir tes entrailles et procéder à ton autopsie ?"

ouf je suis toujours en vie et cela malgré mes paroles, je réponds à la question par une autre, la menace n'ayant aucun effet sur moi puisque ma vie je l'ai perdue il y a un an de cela, quand Vantaël est mort dans mes bras.....

-ELLE PARLE; ELLE COMPREND!!! Cessez de me traiter comme une limace inexpressive. Les créature de ma sorte, dite vous?? Savez vous d'ou l'on vient réellement?? Sachez que je peux expliquer, mais je ne désire en aucun cas plaider ma cause, car mon droit de vie ce n'est pas à vous de le fixer... Daignez-vous écouter jusqu'au bout?? Et ce sans interrompre ni jugé??

/HRP la suite du post va être dictée par l'histoire des worgens que j'ai entendue, soyez cléments merci^^.

Voyant que mes demandes restaient sans réponses je me déçidais à parler, à quoi bon résister, de plus mon histoire vallait la peine d'être entendue, ne serai-ce que pour lever les idées fausses sur moi et les miens, ces fameux Worgens.Prenant mon souffle, je me lançais

-Je suis née dans un village au Nord de Gilnéas, nous étions isolées du monde, sachant juste que le mur nous protegeait, mais de quoi?? La réponse à cette térrible question j'allais l'avoir que bien plus tard. Durant mon enfance je me liais à un autre humain, nommé Vantaël, il devint mon meilleur ami, nous étions inséparables. Lors de notre quinzième anniversaire que nous célèbrâmes ensembles, étant nés à 2 jours d'intervalles nous décidâmes de devenir des Naturelles, des guerriseurs avec les plantes. On ne peut pas appeler ça des druides étant donné que la vraie formation est intérdites aux humains, toutefois nous nous investîmes de bon coeur dans cet apprentissage. Nous parcourions la région, nous arretons de village en village pour quérir le savoir des anciens. Tout allait bien, nous étions heureux, certaines personnes ne manqueraient pas de dire que nous étions amoureux et en un sens c'était vrai. Mais pas de liens charnels, juste des regards, des paroles....

Un soir nous cherchions un endroit ou dormir pour la nuit, le prochain village étant trop loin pour éspèrer y arriver avant la nuit complète. J'aperçu une grange que je montrais du doigt à mon compagnon. Nous décîdames d'aller voir, mais arriver à proximité des bruits étranges en sortait, grongnements, grondements... Vantaël, qui a toujours été quelqu'un de prudent me suggera de faire demis-tour, aventureuse par nature je m'y refusais. Un animal bléssé fera un repas gratuit. Me moquand de lui je rentrais, le laissant à quelques mètres derrière.

Tandis que je racontais mon histoire, mes sentiments enfouis remontaient, tout que j'avais refoulé remontait... Mais je refoulais mes larmes, ces individus ne les meritaient pas.

-Je dois avouer que cette témérité fut la pire erreur, ma vie bascula se soir là, la bête, car c'en était bien une, me mordit, me déchira, la douleur était immense, telle que je basculais dans le noir. Quand je me réveillais j'étais dans une cabane sommaire, Vantaël à mes côtés, l'air mort. Quand il me vit bouger il sourit et me dit qu'il était content que je sois là. Il me raconta qu'en entendant mes cris il était entré et qu'au même moment une boule noire était sortie en courant et qu'elle avait disparu dans la nuit. Il m'avait portée jusque au village, mon sang tâchant sa veste, il n'était pas sur que je survive.
En effet mon corps était perclu de douleurs diveres et quand plus tard un guérisseur vint me soigner je pus voir que les lacerations étaient moches à voir. Je passais les deux semaines suivantes à dormir. Quand je pus enfin me lever nous décidâmes de rentrer.... C'est là que Vantaël trouva la mort, par ma faute.....

Je ne voulais pas me montrer faible et pourtant le souvenir de mon seul amour me térassa, je laissais tomber une seule larme par terre... Comme quoi même une bête pleure.... Je continuerai plus tard, cela doit être su...

Belore resta proche de sa maîtresse, caressant son visage de son bec ardent. Il s'était lié à elle, ses flammes ne brûlait pas l'humaine et lui rapporta une chaleur confortable dans le froid de cette pièce. Reprenant petit à petit son souffle Sarria retrouva ses esprits.. Méthanos.. jamais elle n'aura songé que cet ami osera faire cela. Elle se leva sur les genoux avant de se replonger en avant. Son ventre, lui faisait souffrir. Son visage se crispa en refoulant une nausée.

Lentement elle se releva, la main sur son ventre et leva les yeux en direction de l'elfe qui l'a frappé. Son regard le le désigna avec mépris et pitié. Sa posture est celle d'une femme faible au bord du malaise. Plus la douleur est importante, plus ses yeux s'emplissent de peur. Son regard se porta vers le bas alors qu'elle courba a nouveau l'échine.

-Non... Non... pas... ça..

Plus personne n'était là. La "captive" a été déplacée dans une autre pièce. Sarria savais que ça ne présentais rien de bon. Elle se serai lancé à sa recherche si la douleur n'était pas si importante. Une personne bien plus proche d'elle que cette worgen avais besoin d'aide. En partant, exténuée, elle laissa échapper deux mots.

-Je reviendrai.



[HRP;Edit pour raison que j'avais pas saisi qu'on a déplacé la cage dans une autre pièce]

La worgen tentait la corde sensible.

- La violence, la haine, le désarroi, la perte d'un être cher... nous sommes en guerre depuis si longtemps... tout cela est devenu si courant...

Après une légère pause, la druidesse continua :

- Vous êtes devenue une bête meurtrière, et vous ne cherchez même pas à vous dissimuler... étrange, non ? Moi, je trouve ça étrange... vous dites être une victime, je n'en suis pas convaincue. Vous avez tué celui que vous aimiez, je ne vois pas ce qui vous empêcherait de tuer un inconnu...


[HRP]
Merci d'avoir joué le jeu de la capture !
J'ai le plaisir de t'annoncer que ta candidature est acceptée.
Ton faiseur sera Méthanos, c'est-à-dire ton guide dans notre communauté (et ton geôlier dans un premier temps d'un point de vue RP, le temps que tout cela évolue).

Tu peux contacter dès à présent Nephy (notre prince), ou l'un de ses conseillers : Kardenaar, Hizoka, Selkhys, Shââline, Hippocrate, ou moi-même.

Bienvenue !
[/HRP]

Kelaro n'avait pour le moment pas réagi aux paroles de la Worgen. Confortablement installé, bien que n'ayant pas eu le temps de demander à se faire apporter un rafraîchissement, il écoutait patiemment, en attente de quelque chose...
Qui ne venait pas.
Il saisit l'occasion que lui donnait l'intervention de la Conseillère, et se leva vivement.

- Assez de balivernes et d'enfantillages !! Vous pensez que miauler peut vous servir ?! Avez-vous l'intention de nous attendrir le coeur ?!

Il ponctua cette dernière fausse question d'un ricanement court et sec.

- La Conseillère Atalys l'a très bien dit. Nous sommes en guerre !! Tous.
Et depuis bien longtemps.
Mais la vraie question, qui revient encore et encore au fur et à mesure des évènements qui secouent ce monde, est : qui est notre ennemi ?

Une pause

- Ne nous faites pas croire que vous n'avez pas compris le pourquoi de votre présence ici. Alors épargnez nous les poncifs sur votre malheur, car vous ne surprendrez personne dans cette pièce.
Et permettez nous simplement de répondre à cette question : Qui est notre ennemi ?
De vos paroles dépendra votre sort. Et je puis vous assurer que le sentimentalisme n'a pas sa place ici. Pas quand il s'agit de notre survie.
Nous vous paraissons cruels ? Non. Nous sommes juste rationnellement impitoyables avec ce qui nous menace.

Reprenez vos esprits. Et répondez à la question.